Le parcours scolaire Japonais

uels que soient le pays et l’époque,
il est toujours intéressant d’évaluer les connaissances
des enfants et des jeunes, qui seront les actifs de demain. Au Japon,
les résultats d’un test d’évaluation des
connaissances des lycéens réalisé par le ministère
de l’Education, de la culture, des sports, des sciences et
de la technologie, ont fait apparaître un niveau de connaissances
insuffisant dans les domaines des sciences et des mathématiques,
et un désintérêt pour l’étude. Les
principaux médias japonais ont fait leurs gros titres de
ces résultats. En effet, ils ont non seulement à nouveau
mis en évidence la baisse des connaissances des jeunes, déjà
souvent évoquée, mais ont aussi suscité de
grandes inquiétudes quant à l’avenir du Japon,
qui dépendra nécessairement des connaissances scientifiques
et technologiques de ceux-ci.

De très mauvais résultats en mathématiques
et sciences
Ce test, réalisé en novembre 2002, a évalué
les connaissances de 105 000 élèves en troisième
année de lycée, répartis dans l’ensemble
du Japon. Quarante ans s’étaient écoulés
depuis la dernière évaluation nationale de ce type,
mais celle de 2002 a été d’une ampleur sans précédent,puisqu’elle
concernait 8 % de tous les lycéens de troisième année.


Selon les résultats annoncés par le ministère
le 23 janvier 2004, les performances dans les matières littéraires,
japonais et anglais, sont acceptables, tandis que les résultats
en mathématiques et sciences ont été très
mauvais.

L’évaluation des lycéens était basée
sur le taux attendu de réponses correctes en fonction des
connaissances en principe acquises par les lycéens. En mathématiques,
où les questions portaient sur le programme de première
année de lycée, le taux de réponses correctes
a dépassé le taux attendu sur seulement une des trente
questions, y a correspondu pour cinq, et a été inférieur
pour les 24 autres, soit 80 % de l’ensemble des questions de
mathématiques. Plus de 60 % des lycéens ont été
incapables de répondre à une question de trigonométrie.
Dans le domaine scientifique, 60 à 70 % des questions en
physique, chimie, biologie et sciences de la terre, ont obtenu un
taux de réponses correctes inférieur à ce qu’attendait
le ministère.

Le test était accompagné d’une enquête
sur la manière d’étudier des lycéens,
avec une question sur le temps consacré à l’étude
en dehors des heures passées au lycée. 41 % ont répondu
qu’ils n’étudiaient pas ou quasiment pas chez eux.
36 % des lycéens, ce qui correspond à plus d’un
tiers du total, ont répondu que lorsqu’ils n’avaient
pas compris quelque chose en cours, ils ne faisaient rien pour y
remédier. 20 % seulement ont dit aimer étudier, tandis
que plus de 70 % ont affirmé le contraire.

Près de 80 % des lycéens ayant participé à
l’enquête ont l’intention de poursuivre leurs études,
à l’université ou en institut supérieur
de formation professionnelle, mais la plupart d’entre eux n’ont
pas les connaissances suffisantes, ne passent pas assez de temps
à étudier, et manquent d’ambitions à cet
égard. Depuis plusieurs années, les enseignants universitaires
se plaignent d’avoir affaire à des étudiants
qui ne savent même pas faire des fractions. Ce test, qui montre
le niveau de connaissance des lycéens de troisième
année, leur donne raison.

La conséquence de la réforme de l’enseignement

Quelle est la cause de ces résultats choquants ? Une des
premières à être mentionnée a été
le système scolaire japonais. Depuis 1992, la réforme
« pour une éducation plus libre » qui vise à
alléger le contenu des différentes disciplines afin
d’accorder une plus grande importance à la personnalité
des élèves et à leurs centres d’intérêts,
est en cours. Selon un éditorial daté du 25 janvier
2004 du quotidien Sankei Shimbun, le test montre « les conséquences
tragiques de l’éducation plus libre ». Dans son
éditorial du 28 janvier 2004, le quotidien économique
Nihon Keizai Shimbun constate que « l’approche fondamentale
de la politique de l’enseignement poursuivie par le pays conduit
à la diminution des heures consacrées à l’étude
et du désir d’étudier ». Des mesures de
rectification de cette politique de l’enseignement ont déjà
été adoptées, afin de donner plus d’importance
aux connaissances. Cependant, les résultats de ce test vont
très probablement amener beaucoup de gens à demander
l’accélération de la mise en oeuvre de ces mesures.

Cependant, note l’auteur de l’éditorial publié
par le quotidien Asahi Shimbun le 24 janvier 2004, « Le problème
est de savoir s’occuper des élèves qui n’ont
pas envie d’étudier. » Le taux de natalité
japonais est en baisse, et les examens d’entrée à
l’université sont moins difficiles qu’il y a quelques
années. Les jeunes d’aujourd’hui, qui ont grandi
à l’époque de la bulle économique, se
rendent compte de la gravité de la crise de l’économie
mais savent aussi qu’en restant chez leurs parents, ils pourront
continuer à apprécier leur niveau de vie actuel. Les
valeurs de la société se sont diversifiées,
et le parcours scolaire a moins d’importance qu’autrefois.
Dans ce contexte, il est inévitable pour certains que les
étudiants soient moins motivés pour étudier.


Vers une société plus inégale ?
Mais ce problème ne peut simplement être considéré
comme un paradoxe résultant de l’enrichissement de la
société. Le Japon doit désormais assurer son
avenir par un haut niveau technologique et par les produits que
cela lui permet de fabriquer. Le mauvais niveau des lycéens
japonais en sciences et en mathématiques et leur manque d’ambition
ne peut que rendre pessimiste pour le futur, soulignent les personnes
qui s’intéressent aux problèmes d’éducation.


Takehiko Kariya, professeur de sociologie de l’éducation
à l’Université de Tokyo, a écrit, dans
un article publié le 24 janvier 2004dans l’Asahi Shimbun:
« Ce qui est préoccupant, c’est l’écart
important entre les bons et les mauvais résultats en mathématiques.
Il semble qu’on assiste à une polarisation du niveau
de connaissances. » Il poursuivait : « Il est vraisemblable
que ces écarts au sein de la société vont se
renforcer, parce qu’il y aura deux groupes déterminés
par l’environnement familial, ceux qui travaillent bien à
l’école et ceux qui n’apprennent pas. Cela ne manquera
pas de conduire à des différences de revenus. »
Certains soulignent que si ce test doit être interprété
comme le signe que le Japon est en train de s’éloigner
de ce qu’il est aujourd’hui, c'est-à-dire une société
homogène et assez stable, il a mis en évidence un
problème d’une extrême importance.

-=Source du site de l'ambassade japonaise en françe=-

Vision personnelle:

Le parcours scolaire j'aponais à donc ces forces et faiblesse par rapport au parcours scolaire français.Pour citer des exemple:
Les japonnais n'on cours casiment que le matin l'après midi est réservée au club ce qui en sois est une bonne chose par ce qu'il rattrape le temps perdu par rapport a notre systhème scolaire par leur période de vacances.Cela permet au jeune de 'intégré plus facilement et developer leur sens de vie en sociétée.le deuxième exemple qui ne les favorise pas est leur systhème de d'examen certe les examens sont plus complet ua japon mais cela reste néemoin qu'un QCM et avec de la chance un élève qui na absolument rien suivi pendant les cours peut s'en sortir pas trop mal.Alors que le systhème fraçais est basée sur des exercices d'application des connaissance accise pendant la periode de formation.Le systhème japonais est calqué sur le systhème américain.Et autant vous dire que les diplomé français partans chercher du travail a l'étranger (au japon par exemple) s'il est capable d'écrire et parler le japonnais il sera forcément pris par rapport a sont homologue japonnais qui a passer le même dipôme (par exemple le bac) par ce que mêm si ils ont le même dipôme au final ils n'auront pas le même niveau.

Moi je pense comme ben que comme tout le monde la scolarité japonaise a ses bon cote comme des mauvais cote ki n'en as pas loool .
non serieux jpense que le japon doit etre un peu plus dure .Car d'apre se que j'ai compris les examens son pas trop dur et ben il devrait etre plus dure .sa s'est pas bien loool
me le fait d'avoir cour lpratiquement que le matin et l'aprem pour les clib
ben je ne sais pas rellement si c'est bien ou pas -_-"

bref j'arete la lol

mwé je vois se que tu veut dire ^^
QUand au fait que ce soir plus dur.Les examens en eux même sont plus simple.

moi je trouve ça assez sympa le système des cours et des clubs, c'est pas en France qu'ont ferais ça XD on y consacre pas assez de temps en France je trouve et c'est tard le soir après les cours... -____-"

Pour les examens... A quoi ça sert si ne n'est pas plus dur que ça ?? Franchement... Enfin, savoir qu'il ne sont pas dur c'est bien mais ça sert à rien d'en avoir dans ce cas là !

Et puis les jeunes là, bon c'est un peu partout pareil mais déjà s'ils n'ont que cours le matin, chez eux ils peuvent quand même travailler pour ce qu'ils n'ont pas compris en classe ! C'est vrai je le fais pas mais j'essaie vraiment de comprendre quand il y a des exercices à faire que ce soit en classe ou chez moi ! Parce que le jour du contrôle après... Voilà quoi ! XD

x3 je vois ^^ je pense un peut pareil ^^
bien que maintenant cela ne mon concernes plus x3

Xiaohui a écrit:moi je trouve ça assez sympa le système des cours et des clubs, c'est pas en France qu'ont ferais ça XD on y consacre pas assez de temps en France je trouve et c'est tard le soir après les cours... -____-"

C'est pour ça que c'est en Franc eet en Allemagne qu'on a chercher de méler lieu de vie et lieu d'éducation. Ce que certains lycées commencent malheureusement à remettre en cause en ne voyant le lycée que comme un lieu d'instruction en vue du bac. C domage...

Moi je trouve sympa le fait d' avoir cours le matin et une activité en club l' aprem! En plus y a beaucoup de sortes de clubs (sport, photo....) et ça permet de développer l' esprit d' équipe donc c' est sympa. Bon après avoir un exam chaque fin d' année c' est peu être pas mon truc mais peut être que ça permet mieux de juger les capacités de l' élèves! Et puis ils sont quand même plus disciplinés au Japon, l' uniforme (dans le même style que le leur!) et le ménage des salles de classes, c' est pas un truc qui m' aurait dérangé!

Aya a écrit:Moi je trouve sympa le fait d' avoir cours le matin et une activité en club l' aprem! En plus y a beaucoup de sortes de clubs (sport, photo....) et ça permet de développer l' esprit d' équipe donc c' est sympa. Bon après avoir un exam chaque fin d' année c' est peu être pas mon truc mais peut être que ça permet mieux de juger les capacités de l' élèves! Et puis ils sont quand même plus disciplinés au Japon, l' uniforme (dans le même style que le leur!) et le ménage des salles de classes, c' est pas un truc qui m' aurait dérangé!

Bien sur que c'est sympa de faire une activités l'aprem. Quand jai parlé d'informatique c'était un clin d'oeil a Shaeil. Mais c'est vrai que ça ne contribue pas à fgaire du lycee un lieyu de vie.
Quant aux exams, je pense que sil y en aurait un par ans yaurait moins de stresses. Quand je regarde ds ma classe ils st presque ts stressés par le bac et ne vivent que pour ça...

Comme Shaeill l'a dit, le système d'éducation Japan a ses qualités et ses défauts.

En France, cours toute la journée, Brevet en troisième, BAC en première et terminal. Mais, est-ce que la France et le Japon sont comparable pour l'éducation.
Ce sont tout deux des pays différent, des systèmes de vies différent, une ambiance de vies différentes; et bien évidemment, une éducation différentes.
Le système scolaire est-il moins dûr que celui de la France ? C'est cette question qui me vient à l'esprit en lisant le topic.

SI le niveau d'éducation ne tape pas haut et fort au Japon, c'est selon leurs vies. Chaque pays a son système.

Moi je n'aime pas du tout l'éducation française, après chaque journée d'école, je revient crevée et presque endormi (surtout à cause du bus) .... mais si cela me permetra une bonne vie, un bon boulot et tout ce qui suit, je me comptente de ce système.

Du moment que tu effectue en trvail en groupe ou que tu partage une
passion commune avec une ou plusieur personnes,tu développe ton côté
social vu que tu est au contact des autres.Les personnes qui come moi
et je ne le cache pas on de grande tendance à préfré rester seul se
retrouve contrainte a devoir faire partis d'un groupe et donc a devoir
partager des éidées et échanger des points de vues la se trouve le côté
social.

(pardons j'ai éffacer ton messages en faisant une fausse manipultaion)

Je ne comprent pas vraiment ce que tu veux dire Shaeill.

Je penseque , bien que l'éducation japonaise soit byzarre, elle n'ait en aucun cas bien pour les élèves ...

Chaqun à sa propre vision des choses ce que je veut dire c'est que du moment ou tu est un groupe et que tu discute avec des personnes,on peut dire que tu fais du social (grosso modo c'est ca).

Ok ^^

c'est sur que pour les clubs en france on pourais pas les avoir parce que 2 h de club et t'arive a 7 heures quand tu finis a 5 heures et apres il faut faire les devoirs donc ça nous fait une soirée pourie.

je me demande si à l' université les japonais portent aussi l' uniforme? ça dépend des facs non? y en a certaines où les étudiants ne les mettent que pour les cérémonies (de fin d' année...) il me semble! Enfin, c' est la question que je me posais^^